logo Alizarine

Suite à un mail pour demander en quoi consistait ce type de transport, ABP a reçu la réponse suivante :

"En ce qui concerne votre demande, en fait c'est le fret fluvial que nous cherchons à sauver, partout en France.

Le bateau est le transport le plus écologique identifié à l'heure actuelle et nous avons la chance de pouvoir massifier le transport, faire du transport doux sans chocage, sans pollution sonore, industrielle et nerveuse.

Nous cherchons à re-développer le transport de vin en particulier et le transport fluvial en général."

La problématique du transport routier du vin : empreinte carbone massive, secouage mécanique du vin, image négative du camion, pas de garantie de la maîtrise de la température pendant le transport.

Les possibilités offertes par le transport fluvial : faible impact carbone, pas de vibration, vin bercé, fiabilité, contrôle de la température et image authentique, naturelle et positive.

Le maillage du réseau fluvial qui traverse judicieusement les plus grandes régions viticoles.

La plus-value apportée par ce moyen de transport en terme de développement durable, en particulier pour des produits biologiques.

Le volume actuel de fret vinicole est colossal et la voie routière frise la saturation : un report sur la voie d’eau semble inéluctable vu les enjeux environnementaux actuels et les réserves de capacité des fleuves. Tout particulièrement pour les vins bio et naturels dont la consommation est en forte croissance dans l’Union Européenne et qui sont extrêmement sensibles à la démarche éco-responsable du transport fluvial. L’effet d’adéquation est très fort.